La pizza : une spécialité italienne aux vertus ignorées

La pizza a souvent mauvaise presse, car on la dit trop grasse, trop sucrée ou encore trop riche. Cependant, cette vision est totalement réductrice des bienfaits qu'elle peut nous apporter aussi bien sur le plan physique que sur le plan psychologique. Il est bien sûr évident que, comme toutes les bonnes choses, il ne faut pas en abuser ! Revenons dans cet article sur les différents aspects d'une pizza qui, bien préparée et bien équilibrée, comporte un certain nombre de vertus. Vous pourrez ensuite savourer le plaisir de la choisir en click and collect sur Heustach, avant de la déguster sans culpabiliser.

Pas une pizza... Mais des pizzas !

Différentes qualités de pizza

Clairement, la qualité nutritionnelle de toutes les pizzas ne se vaut pas. Si, pour des raisons économiques, vous faites le choix d'en acheter sous forme surgelée, vous devez être conscient que celles-ci sont très riches en sucre, en sodium, en graisses saturées et, en conséquence, en calories. De plus, comme elles sont fabriquées de façon industrielle, elles ont tendance à comporter des substances chimiques telles que des conservateurs. Vous êtes plutôt un habitué des chaînes de pizzerias ? Cela se comprend, car elles proposent une carte souvent très variée. Néanmoins, concernant leur valeur nutritionnelle, le constat est à peine meilleur. En effet, leurs pizzas contiennent un grand nombre d'ingrédients, dont des colorants artificiels. Elles présentent malheureusement aussi l'inconvénient d'être très riches en sel. Si vous n'avez pas le temps de vous mettre à la cuisine italienne, les pizzas fraîches de votre restaurant qui fait de la vente à emporter sont généralement plus saines. Cela s'explique par le fait que les pizzaïolos fabriquent habituellement leur pâte à partir de matières premières simples comme de la farine de blé et de l'huile d'olive. De plus, ils utilisent traditionnellement une sauce tomate maison concoctée uniquement à base de légumes frais, d'aromates et d'épices. Pour résumer, si vous voulez être sûr de la valeur nutritionnelle de la pizza que vous envisagez de manger, l'idéal est de la préparer vous-même. Cependant, vous devrez être attentif à sélectionner des produits de qualité pour aboutir à un plat vraiment savoureux.

D'un ingrédient à l'autre...

Quelle que soit l'origine de votre pizza, si vous souhaitez que celle-ci soit saine, vous devez choisir une pâte à pain fabriquée à partir de farine complète et, si possible, biologique. En effet, le blé qui en est à l'origine est souvent chargé de pesticides. Donc, si vous tenez à votre santé, il vaut mieux éviter d'ingérer ce genre de substances. D'après Greenpeace, la culture de cette céréale se place en quatrième position en ce qui concerne l'utilisation de produits phytosanitaires (1), un constat qui fait réfléchir... Pour en revenir à notre pizza, le véritable enjeu concernant sa valeur nutritionnelle se situe essentiellement au niveau de sa garniture. Il sera donc préférable d'opter pour une sauce tomate non sucrée et si vous avez l'occasion de la préparer vous-même, c'est encore mieux. Ensuite, vous la couvrirez de légumes qui apportent des fibres. Pour rappel, ces dernières sont indispensables au maintien de la bonne santé de notre système digestif. Pour le fromage, vous le sélectionnerez parmi ceux qui présentent une proportion de graisses raisonnable, comme c'est le cas pour ceux issus du lait de chèvre, par exemple. Enfin, sachant que la ration protéique est déjà assurée par ce dernier, vous n'êtes pas du tout obligé de rajouter de la viande sur votre pizza. Cependant, si vous y tenez, privilégiez alors la viande blanche, telle que le poulet ou la dinde plutôt que du bacon, du pepperoni ou d'autres types de charcuteries, ou que du bœuf.

La pizza est-elle un aliment sain ?

Pizza et perte de poids

Vous avez décidé de vous attaquer à vos kilos en trop. Cependant, le dilemme qui s'impose à vous, c'est que vous adorez manger des pizzas. Vous devez savoir que, si du jour au lendemain, vous supprimez ce genre de plat de votre menu, vous risquez d'en éprouver beaucoup de frustration. Or, lorsque vous ressentez ce type d'émotion, vous allez avoir envie de vous venger sur des aliments gras et sucrés. Ceux-ci sont, d'une part, mauvais pour votre santé et, d'autre part, ils ne vont évidemment pas vous aider à suivre votre régime. Or, la pizza en elle-même n'est pas forcément très calorique surtout si vous faites le choix de la garnir avec des ingrédients sains et notamment avec des légumes. Au cours du repas, vous ferez cependant attention à respecter votre faim. En cela, vous ne devez surtout pas vous sentir obligé de finir votre assiette, si vous vous rendez compte que vous êtes déjà rassasié. Enfin, si vous accompagnez votre pizza avec une salade ou des crudités simplement assaisonnées d'un peu d'huile d'olive, vous obtiendrez une ration équilibrée dont les conséquences seront négligeables sur votre balance.

Des études scientifiques en faveur de la pizza

Au cours de différentes recherches, des scientifiques ont abouti à la conclusion que le fait de manger des pizzas présentait des aspects bénéfiques sur la santé. Cela serait en partie dû au lycopène, une molécule antioxydante qui est présente en proportions importantes dans les tomates. C'est le sujet d'une étude menée par l'Institut pharmacologique de Milan (2). Celle-ci démontre que les personnes qui consomment de la pizza au moins une fois par semaine réduisaient le risque d'apparition de cancers du système digestif, tels que celui du côlon ou de l'œsophage, par exemple. Pour cela, les habitudes alimentaires de plus de 3000 Italiens atteints d'une tumeur ont été comparées avec celles de 5000 en bonne santé. Par ailleurs, pour des chercheurs américains, le fait de manger de façon quotidienne des plats comportant des tomates, comme c'est le cas de la pizza, limite la menace de développer des maladies cardiovasculaires (3). Rappelons qu'au-delà de toutes ces considérations, les glucides présents dans la pâte à pain contribuent à nous sentir bien. De plus, les minéraux et les vitamines que contiennent les légumes et la sauce tomate augmentent notre énergie. Enfin, les protéines et le calcium du fromage ont un effet régulateur sur un certain nombre de nos hormones.

Les effets bénéfiques d'une pizza sur notre humeur

Dans les lignes précédentes, nous avons vu que la pizza présentait des effets positifs sur notre corps. Cependant, elle comporte aussi des bienfaits pour notre moral. En effet, ce plat est synonyme de bien-être et de convivialité. De plus, son aspect coloré et son odeur, en plus de nous mettre en appétit, nous invitent immédiatement à nous sentir bien. Enfin, lorsque nous mordons dans ce mets italien, la richesse de ses saveurs provoque en nous une multitude de sensations agréables. D'ailleurs, la pizza est généralement associée à des souvenirs heureux qui nous rappellent les moments où nous l'avons partagée avec notre famille dans l'enfance ou durant notre adolescence. Il ne faut pas non plus oublier qu'il s'agit aussi d'un plat apprécié par les étudiants. En conséquence, celui-ci est souvent présent lors des fêtes universitaires. En dégustant votre Quatre saisons ou votre Napolitaine, vous ne pouvez pas manquer de revenir immédiatement à des images liées à vos années d'études.

Vous l'aurez compris, les détracteurs de la pizza n'ont pas forcément complètement tort, mais il convient de nuancer leur discours. Commencez par choisir des ingrédients en fonction de la qualité de leurs nutriments et qui sont très frais. Grâce à cela, vous pourrez tout à fait parvenir à associer plaisir et bien-être en croquant avec enthousiasme dans la croûte de votre pizza. Sélectionnez dès maintenant sur Heustach la pizzeria qui propose de la vente à emporter autour de chez vous et passez à table !

Sources : (1) Greenpeace : Le blé, aussi populaire que toxique. Publié le 3 mars 2017.
(2) Journal international du cancer : La pizza protège-t-elle du cancer ?, sous la direction de Silvano Gallus. Publié le 21 juillet 2003.
(3) National Library of Medicine : La consommation de tomates augmente les concentrations d'isomères de lycopène dans le lait maternel et le plasma des femmes allaitantes par Charlotte M. Alien, Anne M Smith, Steven K. Clinton et Steven J. Schwartz. Publié en septembre 2002.